Président du comité Valère Rogissart Vice-Présidents Jean-Pierre Couteron (ANIT) Alain Morel (FFA) Coordinateurs Jean-Marc Priez Pierre Chappard Membres Anne Coppel (AFR) Christine Calderon (AFR) Béatrice Stambul (MDM) Fabrice Olivet (ASUD) Sylvie Justin (SOS DI) Martine Lacoste (ANIT) Véronique Cazaly (AIDES) Sebastien Petit (ANPREF) Santiago Serrano (C.G. 93) Laurent El Ghozi (Elu) Jean Louis Bara (SAFE) Olivier Smadja (CIRDD) Marguerite Arène (Mairie de Paris) |
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17h00/17h30 Projection
du film "17'10 pour une injection à moindre risque" 17h00/18h30 Table ronde/débat public
: salle de consommation, difficultés d'une mise en oeuvre
Vendredi 13 octobre 2006
10h/11h15
11h30/12h30 Plénière « Hépatites
virales chez les usagers de drogues »
12h30/13h00
Tribune
13h00/14h30
Repas 14h30/15h30 Plénière de cloture
15h45/17h30h Table Ronde « La politique des drogues dans le débat
actuel des présidentielles »
Choix de participation
En dehors des plénières accessibles à tous, les Rencontres Nationales vous proposent deux formes de participations
(forums ou ateliers) différentes
que vous devez choisir au moment de l’inscription, suivant
vos centres d’intérêts . Notre objectif est de rendre ces rencontres
les plus riches possibles en présentant des études, expertises ou
expériences de terrain, mais aussi en donnant une large place au
débat d’idées, à la réflexion. C’est à cet effet que nous avons
décidé de vous proposer ces deux formes de travail, afin que les uns
et les autres choisissent la forme de travail qui leur convient le
mieux. Les forums Ils sont au nombre de 3 et se déroulent en parallèle des ateliers… Si vous choisissez de vous inscrire dans les forums, vous êtes inscrits dans les trois.Forum 1 : L’émergence d’une politique européenne
des drogues : Le pouvoir des institutions, l’importance des réseaux….
Forum 2 : Quels parcours des acteurs de la RDR,
quelles formations, quels métiers ? Forum 3 : Comment faire comprendre la réduction des risques au grand public ? Réduire les risques liés à l’usage de drogues ! Hier, l’idée était proposée par quelques militants visionnaires et engagés, aux côtés des usagers de drogues, dans la lutte contre le sida. Aujourd’hui, depuis Août 2004, c’est une politique publique inscrite dans un texte de loi. Les temps changent mais la réflexion et la mobilisation n’ont pas lieu de s’arrêter ! Non pas parce que le principe de la réduction des risques est rejeté mais parce que, comme celui de la prévention, il faut chaque jour en préciser le sens, la méthode, les enjeux. 20 ans après la naissance du concept, 2 ans après son inscription dans la loi, pourquoi est-il si difficile de faire passer au grand public l’idée et les valeurs de la réduction des risques ? D’un côté, l’idée relève d’un bon sens fondé sur des valeurs sanitaires et humanistes. De l’autre c’est une stratégie militante qui propose un débat de société sur la hiérarchie des risques liés aux produits psychoactifs, drogues licites et illicites, qui revendique le respect d’une consommation responsable et respectueuse des valeurs civiques. Aujourd’hui, la réduction des risques fait encore l’objet de débats, dans la société civile comme chez les parlementaires, car certains rejettent le caractère jugé « permissif » des politiques qui proposent des solutions pour réduire certains des risques liés aux usages de drogues. De fait, la réduction des risques est une conception moderne de la prévention qui lui fixe des objectifs concrets et relatifs et moins simplistes et irréalistes que la simple disparition des comportements dangereux. Comment en parler, à quelles conditions est-elle acceptable, quelles valeurs cherche-t-elle à défendre, a-t-elle ses propres préjugés, qui en sont les acteurs, est-ce une stratégie spécifique aux drogues illégales, ne concerne-t-elle que les maladies infectieuses ? Autant de questions auxquelles il nous faut répondre pour pouvoir en parler avec le grand public.
Les ateliers |
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Ils sont au nombre de huit, et peuvent intégrer
de 30 à 50 personnes, suivant les salles et les sujets. Les ateliers
sont déclinés en trois temps différents :
* Temps 1 : analyse de la situation - Durée de 1h30 afin de permettre l’audition d’experts * Temps 2 : Débats - Durée 1 h * Temps 3 : Propositions/recommandations – Durée 1h15 Votre inscription à un atelier est valable pour les 3 temps, vous ne pouvez pas changer d’atelier durant les Rencontres, il s’agit bien d’un temps de travail, dont l’objectif est de produire des recommandations, d’où l’importance de la progression de ceux-ci. Atelier 1 : Institutionnalisation du dispositif RDR
– Quel impact pour l’avenir ? Atelier 2 : Quelles articulations entre les
différents niveaux d’exigence d’accès aux soins ? Atelier 3 : Nouveaux produits, nouveaux usages,
quels sont les freins à l’efficacité des actions en milieux festif aujourd’hui? Atelier 4 : Politiques des drogues, drogues et
politique : évolution, blocages, perspectives. Atelier 5 : Usagers des dispositifs, droit des
usagers, santé communautaire, citoyenneté, qu’en est-il pour les usagers
de drogues ? Atelier 6 : Quels effets, quels impacts de la loi de
70 sur les usagers, les acteurs, les dispositifs ? Atelier 7 : Quelles sont les réalités de l’accès aux
traitements pour les usagers aujourd’hui ?
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vous inscrire aux 1ères Rencontres Nationales, suivant
certains critères une prise en charge est possible. CONTACTEZ
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